RACISTES ET ANTISEMITES LES
FRANÇAIS ?
Antisémites les français alors que l’immense majorité des journalistes et gens de télévision est juive ; qu’ils occupent les plus hauts niveaux du gouvernement ; dans les banques, dans les grandes associations et dans tous les postes clé ? Laissez-moi rire ! Laissez-moi glousser ! Tout au plus il y aurait un peu de jalousie et la sensation que la télévision appartient à une caste de privilégiés -Juive bien sûr !- Et qui, de ce fait, peut (et ne s'en prive pas) manipuler le peuple français à sa guise.
Avec Internet, de plus en plus d’informations circulent et arrivent aux yeux et aux oreilles scandalisés et écœurés des citoyens "ordinaires". Toutes les basses manœuvres des politiciens et des décideurs en général parviennent jusqu’au fin fond de la France profonde. D’où le désabusement et l’absentéisme grandissant à chaque élection Quelquefois, elles ne sont que pure invention, quelquefois exagérées ou non vérifiées, mais d’autres fois elles sont vérifiables. Nous pouvons faire des recoupements et, même aller à la source en suivant les liens qui sont donnés pour preuves.
SOS-Racisme
C’est ainsi que nous apprenons comment sont nés SOS racisme, l’antiracisme,
la lutte contre la xénophobie, le fascisme et l’antifascisme (qui
n’ont rien à voir avec Mussolini) et l’accueil d’une
immigration massive venue d'Afrique du Nord. Nous pouvons constater que le réputé
racisme à la française n’est qu’une grossière
invention de quelques personnes pour manipuler l’opinion publique. Ajoutons
à cette panoplie la diabolisation de "l’extrême-droite".
Revenons en 1983 et son contexte politique. A l’époque le Front
National (FN) n’obtient qu’un tout petit score à chaque élection,
mais aux élections partielles de Dreux il arrive à 16,72 %. Au
second tour, la liste FN fusionne avec celle du RPR et la gauche est largement
battue. A part deux ou trois personnalités de droite, personne ne critique
cette alliance qui apparait d’une grande logique aux yeux des français.
Jacques Chirac ira même jusqu’à dire : Je n'aurais
pas du tout été gêné de voter au second tour pour
la liste RPR-FN. Cela n'a aucune espèce d'importance d'avoir quatre pèlerins
du FN à Dreux, comparé aux quatre ministres communistes au Conseil
des ministres. Mais la presse (déjà à la
botte de la gauche) monte ce fait en épingle. Le danger est grand !
Le danger est grand …..Pour la gauche !! Pensez : l’addition des
voix RPR et celles du FN ajoutées à l’échec de sa
politique économique et la montée du chômage et la gauche
il faut la chercher avec un microscope.
Le président -socialiste pour raisons électorales- l’a bien
compris. Alors que l’année précédente il avait dit
: -" le seuil de tolérance est dépassé"
à propos de l’immigration, plusieurs événements l’ont
fait changer non pas d’avis, mais stratégie. Il y a déjà
eu la fameuse marche des beurs, il y a maintenant cette percée du FN.
Le Nouvel Observateur, -pourtant à sa botte- avait publié un article
pas très flatteur pour son gouvernement où il l’accusait
de nourrir cet anti-islamisme indistinct et de moins en moins honteux
que l'on voyait refleurir, hélas!, dans les couches populaires, en France
et en Europe. Il faut donc trouver des solutions à ces
problèmes très vite.
Certains lui prêtent de grandes qualités de stratège, mais
il y avait-il besoin de sortir de l’ENA pour comprendre la situation?
Par contre il faut déjà avoir un esprit tordu pour imaginer la
suite. Le roi réunit quelques-uns de ses lèche-bottes sûrs,
- qui auront de toute façon, tout intérêt à le rester-
et c’est là, dans un bureau de l’Elysée, qu’ils
vont mettre au point un plan diabolique.
Un piège dans lequel la droite du RPR, son chef en premier, mais ensuite
la France entière vont sauter à pieds joints !
Ce petit comité invente premièrement un personnage.
Ils vont l’appeler Diego de nationalité sénégalaise.
Puis une situation : Dans le métro, une vielle dame, infecte bien sûr,
cherche dans son sac et crie au voleur. "On" lui a volé son
portefeuille ! Tous les yeux se portent alors sur Diego, le seul noir du wagon.
Puis les regards se font de plus en plus menaçants. Les gens s’approchent.
Diego est terrorisé. Heureusement pour lui la vielle retrouve le portefeuille
au fond de son sac ! Reste à trouver la troisième partie du scénario.
Facile ! Diego est traumatisé. Il rejoint sa bande de copains, dans lesquels
figure Harlem Désir, et il raconte ses ennuis. Il envisage même
son retour au Sénégal. Ses amis scandalisés vont alors
décider de créer une association qu’ils appelleront SOS
racisme. Reste à raconter cette histoire à la presse.
Et la presse va sauter dessus au-delà de toute espérance.
Le président avait-il imaginé ce que SOS racisme et ses multiples
dérivés allait devenir. ? Cette infernale machine de guerre allait
diviser la France en deux ; elle allait séparer les "bons"
des "méchants" ; elle allait créer des racistes et des
antiracistes ; des fascistes et des antifascistes et allait transformer le Front
National en un parti pire que le nazisme. Des amis allaient devenir ennemis;
le père allait se fâcher avec ses enfants, et seul le secret de
l’isoloir allait permettre aux électeurs de voter à droite,
mais plus personne n’allait oser se proclamer de droite.
On ne sait pas exactement qui faisait partie du premier groupe, mis à
part Julien Dray et Harlem Désir, –qui s’était fait
remarquer dans une émission de Michel Polac- mais on connait les noms
de tous ceux qui viendront profiter du filon. Car le filon regorge de millions
de francs et plus tard de millions d’euros. Impossible de faire mieux
!
Christian Michel et Didier François créèrent la main jaune
et le slogan touche pas à mon pote qui deviendront les symboles de SOS
Racisme. Portée en triomphe par la presse dans sa quasi-totalité,
l’association va connaitre un succès auquel -on peut en être
certain- les fondateurs ne pouvaient même pas rêver. Les mains se
vendent mieux que des petits pains. Les concerts organisés attirent une
foule immense. Ils sont subventionnés par un tas d'organismes d'Etat
et même par des entreprises publiques –donc avec l’argent
du contribuable- puis les "amis fidèles" du président
: Benamou, Bergé, Bernard-Henri Levy,
Le premier a lieu le 15 juin 1985. Les fondateurs ont bien fait les choses.
Outre Harlem Désir, de nombreuses personnalités y sont présentes
dont Alain Bashung, Bernard-Henri Lévy, Coluche, Guy Bedos, Marek Halter,
Michel Boujenah, Smaïn, Yves Montand (qui n'a pas encore été
déchanté par la gauche) Simone Signoret, Richard Berry, Isabelle
Adjani. S'ajoutent les sangsues à ce beau monde :Jacques Attali, Jacques
Lang etc.etc.
SOS-Racisme se révèlera aussi une formidable
machine à pomper du fric. A sa demande et avec l’appui du Parti
Socialiste et la franc-maçonnerie, il lui en arrive de partout. D’après
ses derniers comptes présentés en 2009. Une dizaine de ministères
lui avaient concédé des subventions. En voici quelques-unes :
348.000 euros du (FASILD)
80.000 euros du ministère de l’Education nationale
46.000 euros du ministère de la Jeunesse et des Sports
40.000 euros de la Mairie de Paris ;
35.000 euros du Conseil régional d’Ile-de-France.
30.000 euros du Conseil du développement de la vie associative (CDVA),
18.669 euros pour les adhésions qui ne représentent que 2 %
100 000 euros de Pierre Bergé
72 724 euros de Ford Fondation
61 649 euros de dons "anonymes"
40 170 euros de "diner des parrains"
16 934 euros de "rire contre le racisme"
5 000 euros de dons divers
Mais ces subventions ne s’arrêtent pas là. Les dirigeants
ont fait mieux. A cet effet, ils créent quelques "filiales"
(où ils placent leurs pions) qui, à leur tour en récolteront.
En voici quelques-unes :
La Fédération Indépendante et Démocratique Lycéenne
(FIDL)
L’Association Régionale pour la Formation et l'Education des Migrants
(Arfem),
L'association Les Parrains de SOS Racisme,
La Fédération Nationale des Maisons des Potes.
Le Village Associatif.
Il faudrait compter aussi ce que ramèneront les représentations
de l’association en province de la part des Conseils Régionaux
ou Conseils Généraux, puis des entreprises publiques comme EDF
et autres et aussi de syndicats comme la CFDT, la MNEF, la FEN sans oublier
les francs-maçons qui furent leurs premiers soutiens.
Il faut ajouter que SOS-Racisme ne publie plus ses comptes et est, de ce fait, hors la loi !
Tout cela pour dire que ce sont ces gens-là qui pompe l’argent du contribuable sans aucune honte. Ce sont eux qui font preuve d’un racisme des plus fielleux à l’égard de tous ceux qui ne pensent pas comme eux. Ce sont eux qui dictent leurs lois . Ce sont eux qui disent ce qui est bien et ce qui mal. Ce sont eux qui vont porter plainte pour la moindre peccadille, la moindre phrase anodine sortie de son contexte. Ce sont eux les dictateurs qui musèlent la France toute entière et l’empêchent de respirer.
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