1993 France : résumé
Le 5 février, Un "jury d’honneur" constate qu’il
y a prescription de l’action publique sur ce qui est reproché
aux trois ministres socialistes dans l "affaire du sang contaminé"
Il y a des élections législatives le 21 et le 28 mars. Un
revers cinglant pour François ? Peut-être, mais il avait
eu ce qu’il voulait : être président de la République
et que son nom reste dans l’Histoire.
Pour une fois la droite n’a pas été la plus bête
du monde : le RPR et l’UDF se sont regroupés. Ensemble, ils
remportent 484 sièges sur les 570 et on pourrait encore y ajouter
les 24 sièges des "divers droite". Le PS perd 198 députés
et il n’en reste que 54. Quand aux "Verts" roses et "Verts"
rouges, ils n’ont aucun élu. Les "Verts" blancs
ont disparus !
Le 29 mars, F M nomme
Edouard Balladur Premier ministre. Pierre Bérégovoy cède
sa place le 30 mars
Le 2 avril le président
de l’Assemblée Nationale est choisi, bien entendu, parmi
la droite. Ce sera Philippe Seguin.
Le 1er mai, Pierre Bérégovoy
qui était Premier ministre jusqu’au changement de majorité
se "suicide" à Nevers.
Le 19 juillet, le Parlement
adopte la réforme de révision de la Constitution qui donne
plus d’indépendance à la magistrature par rapport
aux pouvoirs politiques. Il simplifie aussi la procédure pour que
la Haute Cour de justice puisse mettre facilement en accusation des ministres.
Je ne suis pas magistrat et de fait je n’ai pas pu apprécier
s’il y avait changement, mais par contre, je suis un homme de la
rue et je n’en ai vu aucun.
Le 8 novembre, Monsieur
le président fait savoir qu’il ne fleurira pas la tombe du
maréchal Pétain comme cela se faisait d’habitude.
L’explication est qu’en février, avait été
instaurée une journée nationale en souvenir des persécutions
racistes et antisémites du régime de Vichy – régime
qu’il avait pourtant servi au point de recevoir une distinction–
et qui avait été fixée au 16 juillet en souvenir
d’une rafle perpétrée ce jour en 1942.
Proche
Orient.
13 septembre, Maison Blanche, les flashes des photographes crépitent.
L'heure est solennelle : Yitzhak Rabin et Yasser Arafat, qui représentent
deux peuples qui se livrent une guerre sans merci depuis presque cinquante
ans, vont échanger une poignée de mains qui veut dire qu'ils
veulent tous les deux la paix. Geste symbolique qui restera lettre morte,
mais cela personne –même s'ils viennent de la terre des prophètes-
ne peut le savoir maintenant. Les deux ennemis viennent de signer un accord
qui les engage dans un processus de paix.
Il y a là aussi Bill Clinton qui affiche un large sourire qui veut
dire –J'y suis pour quelque chose dans cette paix que l'on recherche-
En effet il y a deux ans déjà que l'ONU, les États-Unis,
l'URSS, la CEE et plusieurs pays arabes avaient entamé des "conversations
" à Madrid pour arriver à ce résultat. Entre
temps, Rabin a mis fin à la loi qui interdisait tout contact avec
l'OLP et Arafat a reconnu l'État d'Israël et renoncé
au terrorisme. La Bande de Gaza et la ville de Jéricho deviennent
des régions autonomes d'où l'armée israélienne
devra être partie avant le mois d'avril 1994. Ce sont là
es clauses principales, mais toutes ces promesses et ces bonnes paroles
ne rencontrent pas que de bons échos. Des gros grains de sable
dans l'engrenage. En Palestine, les adversaires de Yasser Arafat hurlent
de rage et, en Israël, l'extrême droite dit qu'elle ne tiendra
aucun compte de ces accords.
Afrique
L'Afrique subit les "utopies" de l'Occident (selon le Point
et Libération)
La plus importante fut certainement celle du communisme. Le dogme du parti
–unique- devint le camouflage de sanglantes dictatures. Pire encore
! Ce marxisme encouragea l'industrialisation (copie de Cuba) qui ruina
tous les pays qui voulurent l'adopter. Les paysans qui avaient déjà
été exploités par le colonialisme et leurs monocultures
auraient être orientés vers des agricultures vivrières
qui auraient pu, au moins les nourrir. Au lieu de ça on va déplacer
des populations entières vers une industrialisation utopique qui
disparaitra aussi vite qu'elle était venue.
La seconde utopie occidentale où la France joua un rôle principal
fut de soutenir impassiblement une sorte de dictateurs comme s'ils étaient
responsables et représentatifs de la population. Indépendance
oblige il fallait bien respecter cette comédie, mais fallait-il
pour cela les inonder de millions qu'ils allaient détourner à
leurs profits. La France allait verser annuellement 27 milliards de francs
dont seulement 10 % allait servir à améliorer le sort des
africains. Les autres servant à maintenir en place des "dirigeants"
bafouant ouvertement les droits de l'homme et menant tout droit leur pays
à la faillite
Accord
entre le Vatican et Israël
Le Vatican et Israël font une reconnaissance mutuelle de leurs États.
Jean XXIII et Paul VI avaient multiplié les rapprochements avec
le judaïsme et les communautés. Reconnaître l'État
hébreu était une affaire politique. Israël ne reconnaissait
pas le droit à une patrie aux palestiniens et entre eux se trouvaient
aussi des chrétiens. Une minorité, certes, mais bien réelle.
Le processus de paix signé entre Arafat et Rabin avait aplani ces
difficultés. Dorénavant Israël devra respecter le statu
quo des Lieux Saints, le Vatican s'étant engagé à
combattre l'antisémitisme.
Islam:
montée de l'intégrisme.
Il faudrait déjà avoir la description exacte du mot intégrisme.
Je suis sceptique sur l'interprétation qu'on lui donne communément
de nos jours. Pour moi cet islam qui grandit à la vitesse grand
V sur l'ensemble des pays musulmans est l'islam le plus radical : dur
et dominateur. Vous remarquerez que j'ai volontairement supprimé
le mot pur dans une expression courante qui est: pur et dur. Les islamistes
modérés disent que la lecture qu'ils font du Coran n'est
pas la bonne. Et alors qu'en Occident certains courants s'obstinent à
éradiquer la religion –en général catholique-
par tous les moyens et que la hiérarchie catholique aplanit ou
adoucit la religion pour essayer de conserver les derniers croyants, ce
courant fondamentaliste touche tous les pays arabes et s'étend
dans tous les pays où il y a des musulmans. Ceci me donne à
penser aux limites de la méthode qui consiste à limer toutes
les aspérités de la religion pour ne pas froisser les derniers
catholiques -ou ceux qui voudrait le devenir- en les installant dans un
confort douillet où il suffit d'aimer son prochain pour s'assurer
le ciel après la mort. L'Islam le plus dur s'étend à
la vitesse grand V, la religion catholique s'est endormie et se meurt
petit à petit.
Né en 1978 en Iran, ce courant intégriste gagne tous les
pays musulmans. En Algérie, les combats entre le GIA et les militaires
se durcissent de plus en plus; en Égypte il s'en prend aux touristes
et aux coptes, plus tard aux catholiques; au Soudan, le véritable
maître du pays n'est autre qu'Hassan al-Tourabi; en Afghanistan,
les talibans formés au Pakistan, gagnent du terrain partout. Seules
la Syrie et la Tunisie résistent un peu mieux que les autres pays.
Au Maroc, le roi Hassan II fait tout ce qu'il peut pour contenir cette
vague. L'Arabie et les pays du Golfe qui pratiquent un Islam des plus
traditionaliste, résistent mieux. Que deviendront des pays comme
la Turquie, qui se dit laïque, et les Républiques musulmanes
de l'ex-URSS ?
Putsch
communiste raté
Depuis la chute du communisme dans l'ex-URSS bien malin celui qui se retrouve
! Il a fallu que je fasse des recherches et je ne sais pas si j'ai tout
compris. Je crois savoir qu'il existe une communauté d'États
indépendants. Boris Eltsine est le Président du Soviet
suprême de la République socialiste fédérative
soviétique de Russie. Que le dernier ferme la porte ! Mais
comme dans tous les régimes et mêmes les dictatures, il y
a des nostalgiques et Boris est en danger. Tous les anciens de l'apparatchik
cherchent, sinon à prendre sa place, au moins à diminuer
son pouvoir.
Faisons une parenthèse : Pour connaître Eltsine, il faut
avoir lu sa biographie. Que son enfance, son adolescence, ses études
et sa carrière sont loin de l'image qu'il donne maintenant de lui
! Venant du plus bas de l'échelle –toute la famille vivait
dans un baraquement d'une pièce unique ou tout le monde couchait
à même le sol- Boris n'a aucune difficulté pour réussir
ses études et monter rapidement tous les échelons de sa
vie professionnelle et, plus tard ceux de la politique. En même
temps il est un sportif de haut niveau. Bien loin donc de l'image du gros
lourdaud, au teint rougi par la vodka, qui apparaît en public. En
plusieurs occasions il se présente devant les caméras du
monde entier, dans un état d'ébriété tel qu'il
s'écroule de sa chaise ou essaie de remuer ce corps trop lourd
dans quelques pas de danses ridicules. Dans une autre occasion, il provoquera
le fameux fou-rire de Bill Clinton devenu célèbre dans les
bêtisiers que les télévisions nous présentent
en fin d'année. Fin de parenthèse. Le Président du Soviet suprême de la République
socialiste fédérative soviétique de Russie doit
quand même avoir des moments de lucidité parce qu'il voit
bien le danger venir. Il menace publiquement les membres communistes du
Parlement de prendre des mesures à leur encontre "même
si elles ne sont pas très conformes aux lois". Ce langage
en URSS ne devait pas être rare! Puis il organise un référendum
en sachant qu'il lui sera favorable, mais des émeutes ont lieu
le 1er mai et elles font 600 morts et de nombreux blessés. Pendant
l'été la situation s'aggrave encore. Eltsine finit par dissoudre
le parlement le 21 septembre. C'est alors que des députés
et des militaires se retranchent dans un immeuble appelé la Maison
Blanche (ne pas confondre) et votent, entre eux, la destitution de Boris
Eltsine.A l'extérieur des milliers de manifestants leur apportent
leur soutien. Le danger est grand ! Eltsine fait charger l'armée
contre les manifestants, puis il prive la Maison Blanche d'électricité
et de moyens de communications. Le 3 octobre, le chef des insurgés,
le général Rouskoï, ordonne à ses partisans
de s'emparer de la mairie de Moscou et de la télévision.
Eltsine pense qu'il ne faut plus laisser pourrir la situation. Il fait
mettre des canons en place et, comme à l'intérieur personne
ne veut céder, les canons tirent, l'armée attaque et le
soir du 4 octobre les auteurs du putsch se rendent. Ils ont raté
le coup d'état et on compte 150 morts.
Ex-Yougoslavie.
Haro sur les Serbes.
La conférence de Genève n'a rien donné. L'OTAN, l'ONU
et la CEE rejettent toute la faute sur les serbes. Ces trois organisations
n'y sont-ils pas pour quelque chose en acceptant avec précipitation
la partition du pays ? Puis nous avons déjà vu que les services
de Tony Blair avaient jeté l'opprobre sur les Serbes en leur collant
sur le dos même les crimes commis par les bosniaques contre leurs
propres ressortissants jugés traîtres à leur cause.
Mais il est très facile de rejeter la faute sur les autres, et,
en plus, ils ne s'arrêtent pas là. Ils ont décidé
qu'un tribunal international jugera les criminels de guerre en commençant
par les serbes. Puis ils interdisent le survol de la Bosnie, sous peine
d'être abattus, ils créent des sanctions économiques
contre Belgrade et apportent de l'aide "humanitaire" à
la Bosnie-Herzégovine. Mais la guerre ne s'arrête pas pour
autant et la conférence à Genève n'apporte aucune
solution.
Dans le cours
de ces trois denières années 150 églises
ont été détruites en Croatie et 200 en Bosnie-Herzégovine
sans que les trois organismes cités plus haut ni la presse occidentale,
mais surtout française, n'y voit le moindre soupçon ni la
moindre petite empreinte d'intégrisme musulman. Perplexité
! Pourquoi ?
Divers
L'"affaire"
O.M- Valenciennes.
Cette "affaire", que l'on nous a passé et repassé
à la télévision est à mourir de rire. L'explication
que l'on nous donne est la suivante. L'olympique de Marseille va jouer
dans les jours qui suivent, la finale de la coupe d'Europe des champions
contre le Milan A.C, mais auparavant il doit jouer contre Valenciennes
un match de championnat. Sur le papier, Valenciennes ne fait pas le poids,
mais notre Bernard Tapie tout-en-gueule qui est président de l'OM,
a peur que ses joueurs aient un accident ou se fatiguent de trop. Il a
alors une idée géniale : payer les meilleurs joueurs de
Valenciennes « pour qu'ils lèvent le pieds ». D'ailleurs
les mauvaises langues disent que ces pratiques sont assez courantes dans
le foot. Ce ne sont que des mauvaises langues! Il ne faut pas trop toucher
ce thème de peur que les supporters, déjà pas trop
nombreux, abandonnent les gradins définitivement. En tous cas depuis
que Bernard est président l'OM domine largement le foot français.
Il gagnera aussi le match contre le Milan AC en finale et devient champion
d'Europe ! C'est certainement dû à la qualité de ses
joueurs et aux qualités de son président !
Passons sur la façon dont l'embrouille est négociée,
mais voilà qu'après avoir accepté, un des joueurs
de Valenciennes a des remords. Il ne peut quand même faire ça
à ses coéquipiers ! Jacques Glassmann deviendra dans le
monde du football le traître, la balance etc. et sa carrière
sera définitivement brisée. Vraiment ça ne paie pas
d'être honnête ! Jaques
Glassmann. L'honnêteté devient traitrise
Les dirigeants avertis interrogent les deux autres joueurs qui commencent
par nier farouchement, puis bafouillent, se contredisent. A la mi-temps
on appelle l'arbitre et on lui signale qu'il y a des irrégularités.
D'abord sceptique, -pensez! Le grand OM payer la petite équipe
de Valenciennes pour qu'elle se laisse battre, ça ne tient pas
debout !- mais après il réfléchit. Il y a bien cette
"blessure" de Christophe Robert qui s'est fait sortir sur un
brancard alors que son adversaire l'avait à peine touché.
Le match se termine par une victoire de l'OM, mais Valenciennes émet
des réserves. Et la pièce de théâtre commence.
Quand on regarde les reportages de l'affaire à la télévision
des années plus tard, c'est à mourir de rire. On y voit
un Bernard Tapie tantot indigné, offusqué, goguenard, toujours
sûr de lui et toujours grande gueule. En fin quand même! Vous
me voyez, moi, Bernard Tapie, en train de suborner des joueurs d'une équipe
comme Valenciennes ! Vous croyez que l'OM avait besoin de çà
pour les battre ! Et il jure les grands dieux, la main sur le cœur
comme le grand seigneur qui se serait fait insulter par un vassal. C'est
vrai qu'il y met l'accent, puis ce raisonnement paraît logique et
beaucoup le croient. Même Tonton s'en mêle et le défend
longuement à la télévision. Comme s'il y connaissait
quelque chose au foot, il avance quelques arguments que Bernard lui avait
certainement glissés à l'oreille dans une entrevue qu'il
lui a accordée le matin. C'est qu'il se sent pris, le Bernard !
En effet il est tombé sur os. Un os dur à ronger : le procureur
Éric de Montgolfier. Comble de malchance c'était l'époque
des juges stars. Des juges qui se faisaient un malin plaisir de chasser
le gros gibier ! Le procureur le racontera même à la télévision
: -Monsieur Tapie est rentré dans mon bureau, décontracté
en disant monsieur le procureur, je sors du bureau du Président
… Avec ces paroles il voulait m'impressionner. Vous savez je suis
un personnage important !
Il n'est pourtant pas tranquille, malgré son assurance apparente
et il essaie encore d'autres choses. Il contacte l'entraîneur de
Valenciennes, Boro Primorac, et veut le corrompre en lui promettant un
bon contrat s'il endosse toute la responsabilité de l'affaire.
Mais Boro refuse et "vend la mèche". Une fois encore
pris au piège les mains dans le sac, il s'indigne : Jamais je n'ai
rencontré Boro. D'ailleurs à l'heure où il dit m'avoir
rencontré j'étais avec Jacques Mellick était dans
mon bureau. Et Mellick de corroborer ses dires (Il sera condamné
pour faux témoignage en 1997).
Les revers s'additionnent. On trouve déjà 250 000 francs
enterrés dans le jardin des parents de Christophe Robert, puis
Jean-Jacques Eydelie crache le morceau (il se rétractera après
une rencontre avec Tapie, mais sans résultat), la secrétaire
de Mellick finit par démolir l'alibi et tous les autres finissent
par reconnaître les faits.
Finalement Bernard tout-en-gueule s'en tirera plutôt bien -même
si l'annonce de la sentence sera le seul moment où il paraitra
complètement KO- il ne sera condamné qu'à deux ans
de prison, dont un avec sursis.
Jean Pierre Bernès (dirigeant de l'OM) à deux ans de prison
avec sursis et 15 000 francs d'amende.
Jean-Jacques Eydelie à un an de prison avec sursis et 10 000 francs
d'amende.
Christophe Robert et Jorge Burruchaga à six mois de prison avec
sursis et 5 000 d'amende
Marie-Christine Robert à trois mois de prison avec sursis.
Monde
La Belgique adopte un nouveau statut fédéral avec un "gouvernement"
pour chaque région (Flandre et Wallonie) plus un pour la région
de Bruxelles. Un autre gouvernement, Central celui-là sera composé
d'autant de flamands que de wallons
L'Érythrée obtient l'indépendance après 30
ans de guerre.
Les deux Chine se rencontrent en avril. Première rencontre depuis
1947.
Jacques Gaillot, monseigneur caméras, commence à faire parler
de lui. Visiblement heureux et mielleux devant les caméras et les
appareils photos, il fait tout pour faire parler de lui.
Cyclisme.
Miguel Indurain gagne son troisième tour de France consécutif.
Graeme Obree, totalement inconnu du public, devient recordman de l'heure
avec 51.596 km avec un vélo qu'il a fabriqué lui-même.
Inventions
et découvertes
Intel toujours à la pointe du marché de l'informatique,
lance le Pentium, le plus rapide du marché. Il est composé
de 3,1 millions de transistors et peut traiter 90 millions d'informations
à la seconde. Il est cinq fois plus puissant que le 486 qui le
précède et 1500 fois plus que le premier microprocesseur
Intel de 1971.
Des essais d'un réacteur nucléaire confirment qu'il peut
générer 10 millions de Watts par seconde. Des scientifiques
pensent qu'il s'agit d'une ressource inépuisable. La fusion nucléaire
se produit lorsque deux noyaux atomiques légers fusionnent pour
former le noyau d'un élément plus lourd. La fusion des noyaux
dégage une énergie une énergie considérable.
En médecine une avancée considérable va se produire
avec l'arrivée de l'imagerie à résonnance magnétique
(IRM)
Des astronautes passent cinq heures en dehors d'une navette spatiale,
Endeavor.
Les premiers trains circulent dans le tunnel sous la Manche.